« La Quête de l’Orphanus » permet à Viviane Moore de se balader à travers les siècles de l’an 960 à nos jours, prenant pour héroïne cette pierre de la couronne des rois de Bohème appelée « l’Orphelin ». Elle serait unique en son genre.
Elle aura ses serviteurs, amoureux de son rayonnement, de sa manière de refléter les lumières et de son feu intérieur. Les catastrophes seront nombreuses, les morts aussi. L’aventure interminable s’arrêtera dans les montagnes autour de Chamonix. Sixtine – un prénom de Chapelle – partira à la recherche de son grand-père, Matteo, pour trouver des secrets de richesse, de remords, de regrets dans la recherche d’une carlingue d’avion provenant de dignitaires du régime nazi transportant la pierre comme d’autres trésors. Elle trouvera l’amour avec un historien italien qui a déjà un engagement.
Un peu fastidieux dans ces sauts dans l’histoire de l’Europe mais la dernière partie possède ce pouvoir bizarre d’un conte moderne qui irradie dans la croyance qu’il est possible de trouver celui ou celle qu’on attendait. Un peu le Père Noël… Et la pierre ? Elle vivra d’autres aventures, sûrement.
Nicolas Béniès
« La Quête de l’Orphanus », Viviane Moore, 10/18
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